Cerfs, singes, poules… les animaux multiplient les postures d’intimidation ou de reconnaissance pour établir les relations entre dominants et dominés, le combat mortel, trop risqué, étant souvent évité. A découvrir dans un livre de l’essayiste Alexis Rosenbaum. Tocqueville le disait déjà, nous avons – nous Français en particulier – la passion de l’égalité. Pourtant nos sociétés fonctionnent selon un principe hiérarchique et même si nous en avons atténué les aspects les plus brutaux ou rétrogrades avec le temps, il suffit d’observer une cour de récréation pour constater la pérennité des rapports de domination et l’existence de toute une gamme de comportements destinés à les manifester.
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